Nantes-Valenciennes-Paris (pas forcément dans cet ordre)

La course « je veux tout faire avant de partir à l’étranger » s’associe à celle de la réouverture des restaurants et des terrasses. Quelques jours à Valenciennes, quelques jours à Paris (et à Plaisir), plusieurs semaines à Nantes (et quelques jours à Basse-Goulaine) : tout est fait pour remettre la machine en mouvement avant le grand départ pour la Suède.

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Lundi comme un poisson dans un meublé

Lundi mélancolique avec Cecile McLorin Salvant, ou plus énergique avec l’aquarium de Paris Combo (et qui tombe souvent à point nommé !), mais le plus souvent, je laisse le temps s’étirer en longueur en rêvassant dans la cuisine un peu comme Stormy sur le canapé (ci-dessus). Depuis le 1er novembre, nous avons été reconfinés, re-déconfinés, Ryan et moi sommes partis en Suisse célébrer les fêtes de fin d’année, la rentrée a été paisible et productive, et je me concentre sur mes projets ou j’en lance de nouveaux pour rester en mouvement. Les choses changent et je me suis même demandé si c’était pertinent de garder l’Astroniste, mon cher travelogue. Pourtant, j’ai encore rempilé pour une année : ce sera juste… moins fréquent. L’Astroniste est mon espace d’expression personnelle, mon terrain de jeu (j’expérimente actuellement les mises en forme de texte sans justification qui seraient plus accessibles en termes de lecture) et, c’est du bonus, un rassemblement de souvenirs pour d’autres.

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De Nantes à Poitiers, suite et fin de l’été indien

Sale temps pour les envies de voyages et de sorties. Je viens d’ailleurs de réécrire la phrase précédente qui ressemblait à « Sale temps pour les envies de voyages et de voyages », preuve que ce n’est vraiment pas simple en ce moment. J’ai envie de Bardenas Reales, de Colorado Provençal et de Griffith Observatory. J’ai beau me dire qu’il y a pire, chaque fois qu’un élève au lycée me dit que « ça n’a pas de sens », j’arbore mon plus grand sourire forcé et masqué, mais au fond, je vacille un peu… et la vie continue. Nous pouvons encore sortir, nous rencontrer dans la rue, et au musée, parfois au restaurant, et nous pouvons même encore danser ! Dans cette ambiance de « stand-by », j’essaie de chasser cette pensée que le pire reste à venir même si elle a étonnamment du bon aussi ! Parce oui, si le pire est à venir, autant décomplexer et faire les choses qui comptent vraiment pour nous, non ?

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Changement de rythme à Noirmout’mout

« Si, par le plus grand des hasards, j’étais réveillée à 6h du matin, je viendrai avec toi ». On a tous fait cette blague quand Margaux nous a annoncé qu’elle irait voir le soleil se lever au petit matin. Je ne me souviens plus du mauvais rêve de cette nuit-là, mais j’ai ouvert les yeux et j’ai regardé l’heure en me disant « si ça se trouve… ». Il est six heures. On prend les vélos et on file vers la plage…

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Paris-Rezé-Nantes : préparer les vacances

A l’heure où cet article sera publié, je serai probablement sur les plages de Noirmoutier en bonne compagnie, et en train de profiter de vraies vacances. Par « vraies vacances », je veux dire que les premiers jours de congés sont toujours employés à ne rien faire, ou pas grand-chose, juste pour constater que ce sont les vacances. Cette année est un peu particulière, car Ryan et moi testons le « digital nomad », ou le télétravail en voyage. Je suis toujours en formation et les voyages de cet été ne s’annoncent pas de tout repos… et c’est une excellente chose ! Malgré les jours de rush, cela reste un plaisir d’être active dans des projets qui ont du sens. « La bonne fatigue ». Ainsi, on alterne moments de loisirs et moments studieux… et j’essaie de faire manger Ryan le plus possible pour que sa famille ne le trouve pas trop « déplumé » quand nous serons en Suisse.

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« Quand on ne fait rien, on est utile à tou.te.s »

Du temps ! Le 8 février dernier, après quelques journées et soirées intenses, cinq heures de sommeil par nuit, j’avais encore de l’énergie pour aller au Lieu Unique et aller aux Rencontres de Sophie, un cycle de conférences en philosophie qui avait pour thème « Habiter la Nature ». Mieux encore, j’avais vu passer le nom « Gilles Clément », un nom qui m’était familier lorsque j’étudiais les jardins et je me rappelle avoir même été un peu triste de ne pas avoir pu caser une référence ou deux dans mon mémoire (ce n’était pas tout à fait le même sujet). Les concepts de jardin en mouvement et de jardin planétaire me parlent et j’étais vraiment curieuse d’écouter ce qu’il avait à nous raconter…

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S’aimer à Paris, manger à Nantes

Cela fait trois ans et demi que je tiens ce blog et l’Astroniste n’a jamais connu de pause aussi longue ! Avec un nouveau grand projet dans les pattes qui occupe tout mon temps libre, j’ai dû mettre de côté pas mal de choses. Le blog étant un des derniers sur liste des choses auxquelles je voulais bien renoncer pour un temps, je vous laisse imaginer à quel point c’est le bazar. C’est un bazar passionnant certes, mais je me rends compte que même en faisant des choses passionnantes au quotidien, en faisant des rencontres formidables, j’ai besoin de mes « rituels » à côté pour profiter de ces moments magiques. Alors tout doucement, je me remets en mouvement : voyager, explorer, écrire, étudier, pratiquer une langue étrangère, jouer du piano, tester quelque chose nouveau, faire du sport, s’étirer en regardant une série et danser, toujours danser. Peu importe du moment qu’on bouge et qu’on crée.

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Recalculating… Rerouting…

2020 : prendre l’itinéraire le plus rapide ou l’itinéraire touristique ? Nous ne sommes que le 5 janvier, et j’ai l’impression que cela fait déjà plusieurs mois que cette nouvelle décennie a démarré. Pourtant, 2019 a été forte en émotions alors que j’avais déclaré de manière très solennelle à la fin de l’année 2018, quand je m’étais enfin installée dans mon appartement et que j’avais enfin un travail fixe, que j’en avais déjà beaucoup vu et que j’étais désormais prête à rester hors de ma zone de confort. Je ne croyais pas si bien dire… Je ne peux pas dire que c’était une mauvaise année. C’était juste une année avec des hauts très hauts, tellement hauts, et des bas très bas, tellement bas, que j’ai vécu plusieurs années en une. 2020 continue sur cette lancée, avec son lot de joies, de nouvelles expériences et de déconvenues dans un pack « tout-en-un ». Poursuivons donc l’itinéraire touristique, avec quelques photos des festivités de cet hiver !

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« Festins Chinois, une exposition qui ne manque pas de piquant »

Manger pour travailler, ou travailler pour manger ? Après avoir vécu sur deux continents et en côtoyant un troisième de très près, je peux vous affirmer que les gastronomies du monde est un sujet de conversation intarissable et des anecdotes, j’en ai à la pelle !  La première fois que j’ai mangé mon hamburger à la cantine d’Oldenborg, les Américains m’ont regardé avec des yeux ronds (« tu manges ça avec des couverts, vraiment ? »). Un Japonais s’est moqué de la manière dont je tenais mes baguettes, et c’est là que j’ai découvert la richesse des formes de ces ustensiles et de leurs utilisations. Les Français sont les seuls à manger et à parler de nourriture en même temps. Il ne faut pas oublier de préciser « sans glaçons » lorsque l’on commande un verre d’eau aux Etats-Unis, car autrement, on nous ramène systématiquement un verre de glaçons.

Après l’exposition « Disgusting Food Museum » à la HAB Galerie, voilà une nouvelle exposition culinaire à Nantes, tout aussi voyageuse, mais cette fois, plus appétissante !

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Stormy (Weather), ou les histoires félines et tempêtueuses de l’automne

« C’est mon chat et elle s’appelle Stormy. »

« Stormy, comme l’actrice porno ?? »

« Euh non, comme Stormy Weather,  ou Stormy, la petite soeur toute frisée de Pusheen… »

Depuis la rentrée, les semaines sont rythmées par les festivals de danse, les rallyes danse les grands projets, un nouveau travail (en plus du premier) et les miaulements chaque matin de Stormy pour qui « réveil-matin » signifie « levez-vous maintenant et pas dans cinq minutes ! ». L’automne n’est pas de tout repos et j’ai rarement connu autant de stress. Néanmoins, le quotidien reste aussi rempli de moments joyeux, tendres, et de temps passés à ne rien faire (ou presque). Heureusement ! Alors faisons un petit tour parmi ces souvenirs où l’on a pris le temps de prendre le temps.

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