
Comme d’habitude, nous avions décidé de ne pas faire les choses qu’à moitié. Au menu : croque-monsieur/madame, bûche de Noël et petits sablés aux amandes, le tout accompagné de vins italiens (pas fait exprès de les choisir italiens !). Miam.


L’atmosphère est joyeuse, teintée de jazz français, et je suis heureuse d’avoir ma petite équipe de copains avec moi ce soir. C’est animé, tout le monde met la main à la patte : j’ai encore l’impression de danser.
J’aime de plus en plus mon appartement, surtout l’idée qu’il puisse « vivre » un peu plus qu’au début de l’année où j’avais l’impression d’être dans un appart’hôtel. Victor me dit qu’il pourrait être une sorte d’ambassade à Oldenborg avec ses propres règles « à la française ». J’avoue que l’idée me plaît bien, surtout si ça signifie plus de cuisine et de musique françaises en compagnie de ce petit monde.

Les croques sont réussis et la béchamel est une belle découverte pour certaines. Jonathan et moi avons préparé une casserole chacun, proposant deux méthodes de procéder différentes : match nul !


Alva était également invité, mais a dû annuler pour se consacrer à son mémoire… Tant pis, Mélanie représentait les language partners d’Oldenborg ce soir-là et nous avons apporté des sablés à Alva pour lui donner du courage.

Mélanie me dit que cela faisait quelques années qu’elle n’avait pas fêté Noël puisqu’il ne s’agit pas d’une tradition en Chine. Ariane nous raconte que Noël dans sa famille est surtout l’occasion d’aller au restaurant pour faire un bon repas. Encore une fois, j’écoute ce partage d’expériences avec beaucoup de curiosité et je trouve chouette que nous ayons réussi à retwister les traditions de Noël pour faire quelque chose d’unique et par-dessus tout, qui nous ressemble.


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