Dernier billet sur le Laos : nous sommes de retour à Vientiane pour passer du temps en famille avant nos départs pour la France (Jérémy) et les Etats-Unis (moi).

Après le mariage de Sililuck, je suis tombée malade et nous avons dû repousser notre départ. Cela nous a permis de rester fêter le réveillon du nouvel an avec la famille autour d’un barbecue, même si « fêter » est un grand mot puisqu’il ne s’agit pas vraiment d’une tradition aussi importante que le réveillon de la nouvelle année laotienne (qui dépend du calendrier lunaire).
Ce fut donc une soirée tranquille. Pendant que tout le monde s’affairait autour du barbecue, je mangeais mon porridge de riz, plat spécial pour les intestins fragilisés, mais qui reste malgré tout savoureux. Les douze coups de minuit ? Pas entendus… On dormait déjà !


Nous profitons des derniers jours au Laos pour visiter un peu Vientiane, même si la ville n’est pas aussi belle que ce que nous avons pu voir dans le Nord ou le Sud du pays. Jérémy m’emmène dans le seul parc public, au bord du Mékong, où l’on trouve une fontaine et une statue royale gigantesque (voir plus haut).


Nous n’avons pas pu visiter le musée national qui était fermé ; néanmoins, l’entrée n’était pas très attirante, dans tous les cas. Clairement, la capitale actuelle n’est pas faite pour les touristes… Il existe deux autres musées à Vientiane si je me souviens bien : le musée militaire et le musée de la police (ou de la sécurité). Les sujets sont un peu originaux, mais nous avons privilégié d’autres visites pour notre dernier passage dans la ville.


Sur le principe, on se croirait un peu à la maison puisque nous commandons plusieurs plats collectifs, puis nous nous servons comme nous voulons. Je goûte à tout et évite soigneusement la salade (je pense avoir été suffisamment malade…) : « non, merci, je n’ai plus faim ! ». Jérémy, plus diplomate face à l’insistance de ma grand-mère, s’y essaie… et regrettera le soir-même !
On a tout de même passé un bon moment, mais rappelons-nous que nos estomacs français ne sont pas aussi rôdés que ceux des laotiens… Je vous laisse sur les images des nombreux poissons, plutôt voraces, qui vivent dans l’étang du restaurant.
Au revoir Vientiane, re-bonjour Claremont !
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