Cet article aurait également pu s’appeler « L’été des Justines ». Justine est venue à Nantes, avant que Justine ne rentre et que l’on rencontre Justine. Il s’agit de trois Justine différentes : une amie danseuse, ma colocataire et ma future colocataire. Cependant, il n’y a que la première qui apparaît en photo ici, alors (re)parlons plutôt de danse ! Quand une danseuse de fusion vient nous rendre visite à Nantes, il se passe parfois des choses incroyables comme une soirée dansante en plein air complètement improvisée au beau milieu du parvis de l’Hôtel de Région. Voilà donc nos premiers jours de l’été avec un vrai air de vacances. La saison semble un peu plus douce malgré la menace du Covid-19 et on essaie de profiter tout en restant prudents. On danse le forro en plein air, on pique-nique avec les copain.ine.s, on teste de nouveaux salons de thé, on visite des expositions et surtout, on profite d’être dehors autant que possible.






On a trouvé le spot idéal pour danser, même si on s’est parfois demandé si on avait le droit d’être là. Pas de barrière, personne à l’horizon : comment cela se fait-il qu’il n’y ait personne alors qu’il fait si bon ?
Les photos font un peu penser à des spots publicitaires pour la Région par contre…


Ci-dessus quelques vidéos réalisées par Mickaël (je vous avais dit qu’on avait l’impression de tourner des spots publicitaires sponsorisés par la Région, non ?) avec le téléphone de Mickaël (Mika, un autre… oui, il faut suivre).



LU, un siècle d’innovation (1846-1957) est, comme toutes les dernières expositions du musée d’histoire de Nantes, une très belle exposition. Entre la muséographie soignée et la documentation très, très riche, on s’en met plein les mirettes et le cerveau.



Avec ce marketing extrêmement soigné et une vision à long terme très ambitieuse et claire, on comprend pourquoi LU a eu un tel succès. De mon côté, je trouve l’esthétique particulièrement inspirante et cela donne envie de tester (encore) de nouvelles idées de décoration ou même de design numérique.
On découvre l’histoire de l’usine, l’évolution esthétique des différentes gammes et on explore également la place des femmes et des hommes au sein de l’usine. Les tableaux d’Albert Brenet réalisés vers 1955 (ci-dessus) sont d’intéressants témoignages sociologiques, en plus d’être très chouettes d’un point de vue esthétique.


Ryan et moi sommes actuellement en train d’explorer de nouveaux modes d’alimentation avec le véganisme. A Nantes, le Tree House fait de délicieux desserts vegan : le brownie a cette texture « gooey »* intraduisible en français mais que j’aime tant et des muffins moelleux et pas secs du tout. Ce n’est pas la première fois que la version « vegan » d’un dessert a plus de succès que la version traditionnelle (ah, la tarte à la citrouille…) alors j’ai envie de continuer d’explorer ce pan culinaire. Justine apprend à poser et cherche son meilleur profil : gauche, haut, droite ?
*j’ai eu le même problème de traduction à Minsk. Cependant, je ne suis pas la seule ! De plus, nous venons également de reconnaître « gooey » comme une ambiance musicale particulière et là encore, je ne saurais pas comment le décrire : feutré rythmé ?


Sympa cette exposition LU ! Quant aux desserts vegans, je teste de temps en temps; il y en a de meilleurs que d’autres mais en général c’est bon 🙂
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Ah si jamais tu trouvais une bonne adresse sur Nantes (on sait jamais, si tu te balades dans le coin un jour…), je prends ! ^_^
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Bonjour,
Je cherche un cours de fusion pour débuter, sur Nantes ou alentours en évitant le centre ville si possible. Et si je peux me permettre d’être exigeante j’ai une préférence pour des sons pas trop «latinos» 😄
Merci d’avance !
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