C’est parti pour une nuit à Vegas, les pieds déjà en compote et les sens déjà saturés…
A l’hôtel. Prendre une pause avant d’explorer la ville la nuit. Et je trouve que Sabrina a un charme fou et une classe folle.En route pour « Venise ».Venise envahie par les panneaux publicitaires géants et les néons ? Las Vegas a un air de Californium, le jeu vidéo inspiré de l’univers de Philip K. Dick. Vos repères sont petit à petit brouillés, si bien que vous ne savez plus distinguer ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas vraiment.« Venise », le « Palais des Doges » et des pieds qui dansent continuellement.La troublante impression de déjà-vu. Lorsque vous êtes sur la place « San Marco » quasiment déserte, et que vous vous tournez vers le palais, il est presque possible de croire que vous êtes vraiment à Venise. La place des colonnes, du campanile, et la présence du pont du Rialto vous rappellent que ce n’est pas le cas, mais votre cerveau fait quand même quelques noeuds.Au grand complet, équipe italo-franco-hispano-allemande : Marino, Jérémy, Maÿlis, Sabrina, Angela et Martin. Français, toujours en majorité.Sauriez-vous dire si nous sommes à l’extérieur ou à l’intérieur ? Il s’agit d’une galerie géante dans le Caesar’s palace, réalisée comme si nous étions à l’extérieur : faux plafond, faux pavés, lumière d’ambiance pour simuler une promenade nocturne dans une Rome très rétro. Il y a la même une reproduction de la fontaine de Trevi.
Une grande verrière dans un casino
All you need is…
Un semblant de biosphère
Mon week-end à Las Vegas en chiffres :
20 kilomètres de marche : déambuler dans la ville a été notre activité principale je crois.
6 cents de gagné, sans toucher à une machine. Trouvés par terre.
2 gorgées de Guinness. Je n’aime pas la bière, encore moins les bières fortes, mais la Guinness préparée pour les Etats-Unis est un peu plus douce.
Bilan total : plutôt raisonnable. Je vous laisse sur ces images de Marino, qui a eu beaucoup de chance ce soir-là…