Le lundi et le mercredi, je donne cours à des étudiants qui ont étudié en France le semestre dernier. Peu nombreux, ils l’étaient encore moins mercredi dernier. Difficile de faire un vrai cours lorsque l’on a seulement deux étudiants. Rita me donne alors le feu vert pour les emmener dehors et faire cours dans un environnement un peu moins formel (même si « formel » n’est pas le mot qui me vient à l’esprit pour qualifier ma salle de classe).

Bref, c’était une bonne idée d’aller à Starbucks, de commander une boisson et de s’installer dehors. Jusqu’au moment où des gouttes ont commencé à tomber (regardez sur la table). En bonne nantaise, je me dis que ça va passer…

Il a plu. Et pas qu’à moitié. Cela a duré une heure, mais une heure durant laquelle on s’est retrouvés coincés dans le Village, sans pouvoir sortir. En mauvaise nantaise, on peut dire que la pluie m’a arrêtée puisque j’ai même raté mon cours de sport…
Ceci mis de côté, j’ai été extrêmement surprise de voir le nombre de parapluies dans la rue : c’était la première fois qu’il pleuvait en trois mois, mais tout le monde semblait avoir un parapluie sur soi (sauf nous, évidemment).

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